Croire à la magie de l'union sacrée du féminin et masculin.

Croire à la magie de l'union sacrée du féminin et masculin.
Sauvage. Absolue. Viscérale.
Notre essence.
Considérons cette magnifique photographie comme un seul être.

À la fois femme, à la fois homme.

À la fois féminine, à la fois viril. À la fois, tout. Et jouir de tous ses possibles.

En liberté chérie.

J'écris suite aux écrits de @papa.plume et ce qu'il permet de mettre en lumière en étant homme. En étant viril. En étant féminin.

En élevant les consciences, nous avancerons. Vers plus d'harmonie. D'union sacrée.

Comment cela s'est produit? Tant d'ignorance, de mépris envers ce qui est viril et qui ne l'est pas. Envers ce qui est féminin et ne l'est pas.

Tant de condescendances envers un homme viril, féminin, masculin, ce qu'il doit être et ne pas être pour être homme.

Tant de condescendances envers une femme féminine, masculine et virile, ce qu'elle doit être et ne pas être pour être une femme.

Le poids du schéma culturel, le poids de l'imposition ou non de procréer, le poids de cet éternel débat en ébats transparents.

Ce que @papa.plume fait et dit, et toutes les âmes qui avancent vers les mêmes valeurs éthiques, pour croire à la magie de l'union sacrée du féminin et masculin aiment par dessus l'humain, l'harmonie, la justesse des êtres.

Parfois, depuis plus de 43 ans, je suis fatiguée dêtre, de sentir, de faire, d'aimer, de parler, de voir et de comprendre pour croire et faire croire à cette magie de l'union sacrée du féminin et masculin.

Parfois, je suis combattive, indéfectible, et je pourrais déplacer des montagnes.

Et puis, comme aujourd'hui, j'y mets de la douceur et de l'amour inconditionnel.

Comme le fait Papa Plume et sa famille. Parce que sur ce point, croire à la magie de l'union sacrée du féminin et masculin, je suis sur le chemin en quête d'essence et ne me /le quitteras jamais.


Moi, Sabine Émilie, je suis une femme, féminine et masculine, féminine et virile, j'aime passionnément, intensément. Je suis l'union sacrée du féminin et masculin.

Sabine Royer